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qui prétendent protéger et défendre les droits visant à saper la résilience de la population,
de chacun, et qui bouleversent le monde en cas à démanteler le tissu social et à saper le
de catastrophe, même mineure. Cela illustre moral en créant un état persistant de terreur
également la contradiction des slogans qu'ils et de désespoir. L'expérience de Gaza révèle
prônent. On peut conclure de leurs positions comment la privation de nourriture et d'eau
qu'ils appliquent leurs slogans à tout ce qui est peut devenir un outil pour remodeler le
occidental et en excluent ce qui ne l'est pas. Le paysage politique et imposer de nouvelles
blocus alimentaire est devenu un moyen de réalités sur le terrain, dicter les termes d'un
pression politique et de chantage collectif règlement ou justifier la poursuite de
visant à affaiblir la résistance populaire et à l'agression. Cela soulève des questions
soumettre les civils à des conditions fondamentales quant à la validité du droit
inhumaines. Malgré ces violations flagrantes, international humanitaire et à sa capacité à
la communauté internationale est restée dissuader les crimes de masse, compte tenu
incapable d'agir efficacement, ce qui témoigne du déséquilibre des pouvoirs.
d'une profonde déficience morale et juridique
dans la structure de l'ordre mondial.
Face à cet effondrement humanitaire, la
compassion ne suffit pas. Il est nécessaire
La famine à Gaza n'est pas un événement d'activer les mécanismes de justice
soudain, mais plutôt le prolongement de internationale, afin que les souffrances des
politiques répressives qui utilisent la civils ne deviennent pas de simples
nourriture comme une arme, transformant le statistiques ou un argument de poids dans
quotidien en une lutte pour la survie. Il s'agit les luttes de pouvoir. Mettre fin à la
d'une forme de massacre lent, où les outils de politique de la famine comme arme de
guerre traditionnels s'entremêlent à des guerre ne revient pas seulement à sauver des
stratégies de punition collective vies, mais aussi à défendre ce qui reste de
notre humanité commune et à rejeter
catégoriquement la légitimation du crime
sous quelque prétexte ou justification que
ce soit.
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