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Le gouvernement japonais n'a pas été gouvernement a pris cette décision dans le
confronté à une opposition populaire, mais but de faire taire les voix dissidentes et
il est néanmoins tombé. Cela contraste d'empêcher les troubles. Mais ce qu'il
fortement avec ce qui s'est passé au Népal cherchait à éviter, il l'a finalement
le 8 septembre, où le gouvernement s'est provoqué. L'interdiction a exacerbé le
effondré à la suite de manifestations de ressentiment du public, d'autant plus que
masse menées par la génération Z. la population était déjà accablée par le
désordre généralisé, la corruption, le
chômage, les mauvaises conditions de vie
et le népotisme. Sur les réseaux sociaux,
une tendance s'est dessinée chez les jeunes
ordinaires, qui comparaient leurs propres
Title
difficultés aux privilèges dont jouissaient
les enfants des fonctionnaires, connus sous
le nom de « nepo-kids ». Cette
Name- Major- Year
comparaison a non seulement attisé la
Le déclencheur immédiat de ces colère du public, mais a également

manifestations a été, à mon avis, la embarrassé les élites politiques, intensifiant
proverbiale « goutte d'eau qui a fait encore les tensions entre le gouvernement
déborder le vase ». La population était et la population.
déjà confrontée à de multiples défis, et la
décision du gouvernement a été l'étincelle
qui a déclenché une vague de rébellion et
de dissidence. La décision en question était
l'interdiction par le gouvernement népalais
de plusieurs plateformes de réseaux
sociaux - TikTok n'en faisait pas partie, car
il était officiellement enregistré, ce qui a
permis aux jeunes de se mobiliser. Le
gouvernement a justifié cette interdiction Ce qui a encore aggravé la crise, c'est la
en arguant que ces plateformes ne réponse du gouvernement aux

respectaient pas les nouvelles manifestations. Au lieu d'apaiser la colère 7ᵉ anniversaire d’ELITE (2018-2025)
réglementations régissant leur du public et de s'efforcer de calmer la
fonctionnement. En réalité, ces plateformes situation, il a recouru à des mesures
étaient le principal moyen utilisé par les violentes. Les forces de sécurité ont utilisé
jeunes pour exprimer leurs opinions, des gaz lacrymogènes, des balles en
manifester leur opposition au caoutchouc et, parfois, des balles réelles,
gouvernement et afficher leur esprit de faisant des morts et un nombre important
rébellion. La fermeture a donc été perçue de blessés. Cette escalade de la violence n'a
comme une privation de ce droit essentiel, fait qu'intensifier les manifestations et
alimentant la colère généralisée parmi les attiser l'indignation du public, aboutissant
jeunes. Dans le même temps, le à la démission du Premier ministre K. P.
Sharma Oli.
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Le gouvernement japonais n'a pas été
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